La qualité de vie au travail, tout le monde y gagne

Plusieurs études ont prouvé que la qualité de vie au travail avait un impact positif sur la performance des entreprises. D’après une étude de l’université de Berkeley, un environnement doté de fenêtre augmenterait la productivité de 40%. Mais quid de la qualité de l’air ? 

Il ne faut pas oublier que le second lieu de vie d’un Français est son bureau. La qualité de l’environnement intérieur devient donc important pour son rôle sur le confort et la santé. Le bruit et la lumière sont pris en compte depuis quelques années mais de nouveaux paramètres comme la qualité de l’air apparaissent dans la conception des espace de travail.  

L’intérêt d’une agréable qualité de vie au travail 

Avant toute chose, préserver une qualité de vie au travail rentre dans une démarche RSE (Responsabilité Sociales des Entreprise). Cette démarché prouve la responsabilité de l’entreprise face à son environnement, mais aussi sa bienveillance à l’égard de ses salariés et aux conditions de travail. 

Un absentéisme et un turnover moins conséquent et une productivité plus importante 

Selon l’étude évoqué dans l’introduction, une entreprise qui favorise un espace de travail sain et de qualité, avec une meilleure gestion de la ventilation, permet d’observer une diminution de 55% du taux d’absentéisme. Les facteurs qui réduisent ce taux en impactant l’équipe sont liés principalement à la fidélisation, à la productivité ainsi qu’à la créativité qui augmente de 19%. 

Un acte de bienveillance pour ses salariés 

L’intérêt pour une société d’améliorer la qualité de vie au travail est principalement un acte culturel de bienveillance. Cela montrera au salarié qu’il n’est pas une simple ressource pour l’entreprise, qu’il est important de préserver sa santé et qu’il est primordial de lui faciliter sa vie au travail. 

En dehors du salarié, une entreprise soucieuse de ses équipes bénéficie d’une meilleure image, qui, par la suite peut avoir un impact important pour la notoriété de l’entreprise.  

La qualité de l’air au travail un élément à prendre en compte pour la QVT 

Le respect de la qualité de vie au travail commence par la qualité de l’air de l’environnement. Plus l’air est sain plus il respecte la santé des salariés. 

Les analyseurs Ethera permettent aux entreprises de mesurer en continu le taux de polluant, mais aussi la température, l’humidité, le bruit et la lumière présents dans l’ensemble du lieu. 

Les solutions Ethera permettent d’analyser en continu ou de réaliser des campagnes ponctuelles avec édition d’un rapport d’analyse. Il est possible également de faire le lien entre les paramètres mesurés et l’impact physiologique.  Outre l’analyse, Ethera propose aussi une gamme de granulés de filtration spécifique à installer dans les systèmes de ventilation et de recyclage pour épurer l’air respiré. La composition et la définition du média filtrant peuvent être réalisées après un diagnostic QAI.

Les réglementations concernant la qualité de l’air au travail 

Les lois sur les conditions de vie au travail indiquent que l’employeur doit garantir un air sain à ses salariés dans l’environnement où ils travaillent. Il est donc primordial de diagnostiquer régulièrement l’exposition des polluants dans l’espace de travail, afin de préserver la santé de chacun et garantir la qualité de l’air requise par la loi (VLE). 

En effet, nos analyseurs permettent de réguler le taux de polluant présent d’en l’air et ainsi renouveler l’air quand il est nécessaire. De plus, ils peuvent diagnostiquer plusieurs polluants, principalement le formaldéhyde. 

La réglementation diffère selon l’environnement à surveiller. Il y a deux types de locaux. 

Les locaux à pollution non spécifique : 

  • Ils doivent opter pour une ventilation mécanique ou naturelle permanente 
  • L’aération naturelle est acceptée, si le volume des occupants ne dépasse pas 15m3 pour un travail physique léger et 24m3 pour les autres locaux. 
  • Le local doit contenir des fenêtres ouvrantes donnant à l’extérieur et accessible à tous 
  • Débit minimal pour les ventilations mécanique : 
    • Locaux sans travail physique 🡺 25m3/h 
    • Restauration, vente, salle de réunion 🡺 30m3/h
    • Bâtiment avec travail physique léger 🡺 45m3/h
    • Autre locaux 🡺 60m3/h

Et les locaux à pollution spécifique qui regroupent les environnements où une quantité de poussière élevée est inhalée par les salariés

 

Découvrez notre solution économique et simple pour le diagnostic QAI

Les sources de pollution dans les espaces travail 

Plusieurs éléments sont source de pollution dans un environnement de travail. Les polluants liés au bâtiment lui-même (colles, peintures, bois, revêtement de sol) mais aussi à son environnement extérieur (zone urbaine, zone industrielle à proximité…). Les équipements sont aussi source de pollution, comme par exemple, les imprimantes et photocopieurs qui sont une source de COV, d’ozone et de particules fines. Les produits d’entretient sont aussi à prendre en compte (terpènes, éthers, alcools), il faut donc privilégier les produits d’entretien sans parfum avec peu de COV. A noter que le principal COV polluant dans l’air intérieur reste le formaldéhyde. 

Renouveler son air régulièrement 

Le bon fonctionnement des systèmes de traitement de l’air dans les immeubles de bureaux, est primordial. Tout comme le diagnostic de l’air intérieur, il est impératif d’avoir une bonne gestion des systèmes de ventilation, de climatisation et de chauffage et d’effectuer un contrôle régulier sur son fonctionnement. La surveillance ou la prédiction de saturation des filtres optimise également la QAI. 

Le diagnostic régulier de l’air et une meilleure gestion des systèmes de ventilation sécurise la santé et le bien-être des salariés. 

NEMo : Analyseur autonome de la qualité de l'air intérieur

Etape 1 - Insérer le capteur formaldéhyde

Etape 2 - Positionnez l'enregistreur QAI ERP NEMo

Etape 3 - Récupérez les données

Etape 4 - Editez le rapport automatique

Diagnostiquer la qualité de l’air de son lieu de travail 

Afin de préserver une bonne qualité de vie au travail, il est capital de diagnostiquer l’air intérieur de son environnement. 

Nos solutions de mesure sont conçues exclusivement pour préserver une excellente qualité d’air. Notre station d’analyse QAI NEMo, est l’unique solution nomade à mesurer en continuer le formaldéhyde et le confinement. Il possède des capteurs unique, brevetés CEA CNRS Ethera. 

Nous disposons aussi d’une station en poste fixe, NEMo XT, qui transmet en temps réel des valeurs. Contrairement à NEMo log qui enregistre le taux de polluant sur une campagne de mesure allant jusqu’à une semaine consécutive. 

Analyser la qualité de l’air intérieur en continu permettra de régler vos installations, équilibrer vos systèmes de ventilations. Mais surtout d’émettre des bilans sur les paramètres de confort (humidité, bruit, température) et de santé (pm, formaldéhyde, cov…) 

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Qualité de l'air dans les erp

Analyseur de la qualité de l’air intérieur NEMo